Le blog d'Erwan

Deux cocktails à base de Gin et comportant les mêmes ingrédients. Pour autant ce sont deux cocktails différents.

Le Gin Fizz est préparé au shaker : Gin, jus de citron et sucre sont mélangés puis versés dans un verre de type Tumbler (verre haut mais pas forcément trop large). Le verre est complété par du soda. Attention : le soda c’est de l’eau gazeuse (Perrier, notamment).

Le Tom Collins, en revanche, est préparé directement dans un verre à Collins (Tumbler plus grand et un peu évasé). Les ingrédients sont mélangés sur de la glace puis complété, toujours avec du soda. Le Collins est complété par des rondelles d’orange et/ou citron. Mais surtout : le Collins doit être agrémenté d’une cerise à cocktail avec la queue !

Les différences notables sont donc :

• la présense des glaçons dans le verre ;
• la présence des rondelles de citron et/ou d’orange ;
• la présence de la cerise à queue.

Personnellement, je préfère le Tom Collins car c’est le cocktail que j’apprécie quand je souhaite me rafraichir. Seulement voilà : le Tom Collins est très peu connu des barmen. Alors pour éviter de me retrouver avec un Gin Tonic (si si ! ça arrive !) je demande un Gin Fizz…

Le musée est un véritable bouchon lyonnais. J’y suis allé un midi sur les recommandantions d’une relation professionnelle avec qui j’ai déjeuné. Je n’ai pas été déçu !

Les bouchons lyonnais font partie du folklore mais sont maintenant souvent faits pour amuser les touristes qui supportent mal la gastronomie lyonnaise. Le Musée ne fait pas partie de ceux là. L’ambiance est quelque peu enfumée et le cadre un peu vieillot mais les rangées de tables avec des nappes à carreaux et les serveurs à tablier indiquent que c’est un bon endroit.

Vient ensuite le menu… Le patron propose oralement les entrées puis le plats : pas de carte à lire. Aujourd’hui c’était escargots à l’ail et au basilic, terrine du chef, fromage de tête, salade de pleurottes, soupe de tripes en entrée. Vient ensuite : Quenelle de brochet, onglet poêlé au thym, poulet au vinaigre,… chaque plat était accompagné de gratin de penne et de cardons !

Personnellement, la soupe de tripes et le poulet au vinaigre ont fait mon bonheur. Le Saint Marcellin qui suivait était en revanche pas assez fait. Mais c’est dur maintenant d’en trouver un bien fait dans un resto… Le tout pour 20 euros le menu… Rien à dire !

Il faudra que je réessaye car la cuisine est du marché. La carte doit donc varier régulièrement.

En bref : un très bon bouchon où on peut déjeuner tranquillement.

Le Musée
Luc et Sylvie Minaire
2, rue des Forces
69002 Lyon
Tél. : 04 78 37 71 54

PS : Jai oublié de dire que le pain est apparemment cuit sur place et proposé chaud sur la table 🙂

• 2 cl de Cognac
• 2 cl de liqueur de cacao blanc
• 2 cl de crème fraîche

Frapper les ingrédients au shaker et servir dans un verre à vin ou à cocktail.

Goûté au bar « Le Dieppe » de l’hôtel de Dieppe à Rouen : cocktail plutôt doux au « parfum » boisé. La crême adoucit la force du cognac et le cacao blanc renforce les notes sucrées. Très bon !

Un resto de midi mais faut prévoir la sieste. Ce resto propose des couscous et des tajines. Vraiment délicieux. Le choix dans les viandes : agneau (jarret ou côte), merguez, brochette de boeuf, poulet, boulettes…

Ce resto propose quelques vins de l’autre côté de la Méditerranée. J’ai goûté un Médéa (Algérie). Très bon !

Une adresse sympa pour un prix sympa : un couscous avec plusieurs viandes pour moins de 15 euros 🙂

Le petit resto
10 place des Emmurées, Rouen
02 35 63 57 86

Très bon restaurant dans le quartier des Grands Boulevards. Ambiance plutôt jeune mais nourriture bien classique. La spécialité : La côte de boeuf !

Pour deux personnes une formule intéressante :

Une entrée + la côte de boeuf ou la côte de boeuf + un dessert : 50 € à deux.

Faut pas s’en priver ! D’ailleurs, je ne m’en prive pas avec mon copain Eric!

Restaurant Cornelius Paris

9 rue de Trévise, Paris 9è. 01 47 70 68 76